Si l’aventure a débuté par la création de mobilier, elle étend désormais ses travaux à la conception de charpentes en chêne et en châtaignier, en réinterprétant les systèmes d’assemblages de bois courts. L’industrie a tendance à refuser l’usage des surbilles(1), jugée peu exploitables, pour les exporter à moindre coût, en Asie notamment. G.DU.BOIS fait de ce ineptie un terrain d’expérimentation technique et spatial: voûtées, leurs charpentes permettent d’une part l’emploi d’éléments massifs issus des surbilles, liés par des tourillons de hêtre, mais elles génèrent également des espaces sous-charpentes plus vastes. Test de l’Institut technologique FCBA validé, subventions décrochées, robot Cormec maîtrisé…. La prochaine étape pour les deux hommes semble être l’édification d’une “charpente cathédrale” dans les Yvelines, comme pôle de stockage, de fabrication et d’exposition de ces travaux.